Né en 1956 d’un père militaire français et d’une mère d’origine libano-marocaine à Casablanca, José Nicolas parcourt l’Afrique tout au long de son enfance. À dix ans, il arrive en France et intègre le lycée militaire de La Flèche, rejoint les unités parachutistes puis est rapidement affecté à des opérations au Liban, Tchad et Centrafrique. La découverte de la photographie se fait sur « le terrain » au contact des reporters d’images Yan Morvan et Jacques Pavlovsky. Grièvement blessé par le tir d’un sniper à vingt-neuf ans, l’opportunité se présente d’embrasser une nouvelle carrière. Remis de sa convalescence, il est engagé en tant que photoreporter à l’agence Sipa à Paris… qui le renvoie sur le terrain couvrir les zones de guerre.
De 1982 à 1994, il parcourt le monde relayant de ses images les « news » des conflits internationaux. Au Liban, Afghanistan, Kurdistan, Mer de Chine avec Bernard Kouchner pour les French Doctors, et au Surinam, en Roumanie lors de la révolution, au Tchad, couvrant les guerres Iran-Irak, le Golfe, Liberia et Côte d’Ivoire, Bosnie, Somalie, Rwanda…
De retour en France, il réalise des portraits de personnalités et hommes politiques : sœur Emmanuelle, Michel Portal, François Mitterrand, Jacques Chirac, Lionel Jospin, François Hollande ou Jean-François Deniau, et devient photographe indépendant. Il s’investit dans des ONG rendant compte de missions humanitaires en Haïti, Togo et Ghana, poursuit ses travaux personnels et organise des expositions de photographes confrères à l’atelier/galerie Taylor à Paris.
Ses photographies sont exposées régulièrement en festivals, galeries et dans des musées sur l’Hexagone et à l’étranger, de même que des ouvrages sont édités, images issues de ses larges archives.
||| Les autres membres du jury 2023
De 1982 à 1994, il parcourt le monde relayant de ses images les « news » des conflits internationaux. Au Liban, Afghanistan, Kurdistan, Mer de Chine avec Bernard Kouchner pour les French Doctors, et au Surinam, en Roumanie lors de la révolution, au Tchad, couvrant les guerres Iran-Irak, le Golfe, Liberia et Côte d’Ivoire, Bosnie, Somalie, Rwanda…
De retour en France, il réalise des portraits de personnalités et hommes politiques : sœur Emmanuelle, Michel Portal, François Mitterrand, Jacques Chirac, Lionel Jospin, François Hollande ou Jean-François Deniau, et devient photographe indépendant. Il s’investit dans des ONG rendant compte de missions humanitaires en Haïti, Togo et Ghana, poursuit ses travaux personnels et organise des expositions de photographes confrères à l’atelier/galerie Taylor à Paris.
Ses photographies sont exposées régulièrement en festivals, galeries et dans des musées sur l’Hexagone et à l’étranger, de même que des ouvrages sont édités, images issues de ses larges archives.
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